Cuba… Il y a la mer, ses eaux turquoises, ses dauphins, une vie sous-marine émouvante. Des poissons multicolores qui émerveillent à travers les lunettes de plongée. Il y a le sable fin, chaud, les palmiers. Il y a des couchers de soleil à faire pleurer d’émotions…
Il y a aussi la ville, la Habana. Seigneurs que c’est beau! Chaque fois, je retombe en amour, d’un amour renouvelé, encore plus fort. Là-bas, les gens sont riches, d’une richesse qui ne s’achète pas, parce qu’elle vient du dedans. Ils sont généreux, ils sont beaux, accueillants. Chaque rencontre est un privilège. Ça sent le cigare et l’empreinte d’une révolution. De vieilles voitures des années 50 circulent partout et rappellent une époque révolue. Quel décalage… pour les Cubains, c’est la marque d’un présent, du modernisme. C’est la pauvreté dans toute son abondance. C’est pas Guantanamo, et c’est déjà beaucoup…!
La Havane, c’est aussi le poulet et le riz à la créole, Miam! Le cochinito, les langoustes et les fruits exotiques directement croqués à même l’arbre. Dans ce paradis tropical, on se gave de mangues et de papayes. Une petite soif? Le Guarapo, jus de canne à sucre, mes papilles s’en souviennent encore…
Cuba, c’est encore plein de choses que j’oublie d’écrire mais que mon cœur n’oublie pourtant pas…